26 Juin Face au « niet langer » hollandais, quelles solutions ?
Un temps envisagé comme un simple choix, le fait de recourir aux énergies renouvelables est en passe de devenir une véritable obligation pour les architectes belges.
Cette évolution ne résulte pas uniquement des rapports du GIEC, qui indiquent année après année que l’impact écologique de nos pays occidentaux se réduit bien trop faiblement par rapport aux ressources disponibles et aux pollutions annoncées.
Désormais, la dimension de contrainte et d’urgence est également due, de manière plus directement tangible, au fait que les Pays-Bas, qui contribuaient pour une bonne part au « pack énergétique belge », ont fait savoir au Gouvernement de notre pays leur désir de cesser ces transferts à compter de 2030 au plus tard.
Déjà en Flandre, cette nouvelle donne sera difficile à affronter. Car certes, les solutions alternatives fondées sur une production d’énergie autonome (au départ de dispositifs locaux voire individuels) y connaissent un bon développement ; mais cela restera bien insuffisant face à la fermeture des « vannes » de notre voisin batave.
Le défi est toutefois bien plus important encore dans le sud du pays. Dans ce cas, c’est à un total changement de paradigme que le retrait hollandais nous obligera, sous peine de devoir acquérir à l’avenir cette même énergie exogène à des prix bien plus élevés, auprès de pays plus lointains.
Dans ce contexte, la pompe a chaleur telle que COVERS l’a imaginée constitue assurément une énorme opportunité ! Elle va en effet dans le sens d’une autonomie énergétique non seulement du pays en tant que collectivité, mais carrément des ménages eux-mêmes !
Pour en savoir plus sur la dimensions d’autonomie des solutions COVERS, lisez ici. Il va sans dire, par ailleurs, que nous nous tenons à votre disposition !